Sortie du second roman policier “Double nœud 2” d’Erich Alauzen

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Sortie du second roman policier “Double nœud 2” d’Erich Alauzen

AGRAKAL Édition annonce la sortie du second roman d’Erich Alauzen Double nœud 2- Les Secrets de Carthage, la suite de son premier roman Double nœud 1- Les Meurtres de Brandys Bay.

Sortant parallèlement en Tunisie et en France, la maison d’édition tunisienne, spécialiste du roman policier, distribuera le nouveau roman d’Erich à la fois en librairies (sur tout le territoire tunisien) et sur le net, via les sites de culturel.tn et de manuskri.tn.

« Je présente toutes mes excuses à mes lecteurs pour avoir tardé à sortir la suite de Double nœud. Écrire plus de 400 pages prend beaucoup de temps et les activités très intenses de mon cabinet de relations presse m’empêchaient de me consacrer à son écriture comme je l’aurais désiré. Le livre est enfin sorti et j’en suis vraiment heureux ! De plus, je suis fier d’annoncer que ce livre est un produit purement tunisien, du fait que sa couverture, son écriture, son impression et sa promotion internationale ont été réalisés ici en Tunisie par la maison AGRAKAL et ses partenaires. Son prix a également été adapté au marché tunisien, le livre étant vendu à DT 23,500 » déclarait Erich Alauzen.

La promotion internationale inclura une mise à disposition de Double nœud 2 sur la plateforme Amazon ainsi qu’une édition numérique, le public européen lisant de plus en plus leurs romans sur des liseuses.

Un livre policier, certes, truffé de meurtres et de mauvaises personnes, mais aussi un passionnant retour sur le Tunis de 1924 quand Erich n’hésite pas à nous faire découvrir des endroits souvent disparus, non seulement dans la capitale mais aussi à Carthage…

La note punique carthaginoise est également bien présente à travers une secte maléfique qui… Mais, non, c’est un roman policier, alors on ne dévoile rien de plus !

Agrakal Edition annonce également qu’elle est toujours à la recherche de jeunes écrivains maghrébins et africains de nouvelles ou de romans policiers pour les publier si les manuscrits sont retenus par son Comité de Lecture.

A bon écrivain, le message est passé !

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